Eric Zemmour : La vérité sur les sondages par Guillaume Peltier

Vous ne comprenez plus rien aux sondages dans cette dernière ligne droite ? Ecoutez ces histoires. Dimanche 10 avril, faites le bon choix pour ne pas faire partie de ceux qui diront « Ah, si j’avais su ! Ah, si je n’avais pas cru les sondages ! ».

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4 commentaires

MAS 6 avril 2022 - 18 h 27 min
Monsieur Eric Zemmour est un visionnaire. Intellectuellement supérieur à tous les autres candidats, il s'impose naturellement à la fonction suprême pour la France. Son destin est écrit pour cela. Bien conseillé, bien soutenu par des décideurs de qualité il sera propulsé au sommet. Cette prise de conscience est inexorable. Confiance pour l'avenir de la France.
Socrate 6 avril 2022 - 22 h 19 min
Tels qu'apparaissent les sondages du premier tour, Macron ne peut pas gagner la présidentielle: il n'aura pas assez de reports de voix du premier tour. Et l'on ne tient pas encore compte de l'abstention ni de l'effet rejet du sortant au moment de passer dans l'isoloir. Certain se décident à ce moment à franchir le pas. Vous voyez les électeurs de Mélenchon ou de Roussel voter Macron pour "faire barrage à l'extrême-droite"? Ils se réfugieront plutôt dans l'abstention, qui décidera du second tour.
Socrate 8 avril 2022 - 8 h 56 min
Les sondages de deuxième tour surtout doivent éveiller notre esprit critique: le sortant gagnerait l'élection "haut la main" contre n'importe lequel de ses concurrents. Pendant ce temps on nous dit que 66% des Francais veulent changer de président, c'est à dire en fait qu'ils rejettent Macron. Ces chiffres sont contradictoires. Cela s'explique ainsi: avant le premier tour, l'électeur pense choix; au deuxième tour il pense: rejet. Ceux qu'on interroge aujourd'hui , avant le premier tour, répondent en pensant à leur choix du premier tour. Ce n'est que lorsqu'ils se trouveront en face des deux candidats sélectionnés que fonctionnera le mécanisme de rejet. Mais celuis-ci sera violent, sans doute plus qu'on n'imagine. Et ainsi le vainqueur final sera élu par défaut, comme Hollande en 2012, comme Macron en 2017. Cette année-là on disait: face à Marine Le Pen, on ferait élire une chaise. Je crois qu'aujourd'hui on pourrait le dire de Macron.
Socrate 8 avril 2022 - 8 h 56 min
Les sondages de deuxième tour surtout doivent éveiller notre esprit critique: le sortant gagnerait l'élection "haut la main" contre n'importe lequel de ses concurrents. Pendant ce temps on nous dit que 66% des Francais veulent changer de président, c'est à dire en fait qu'ils rejettent Macron. Ces chiffres sont contradictoires. Cela s'explique ainsi: avant le premier tour, l'électeur pense choix; au deuxième tour il pense: rejet. Ceux qu'on interroge aujourd'hui , avant le premier tour, répondent en pensant à leur choix du premier tour. Ce n'est que lorsqu'ils se trouveront en face des deux candidats sélectionnés que fonctionnera le mécanisme de rejet. Mais celuis-ci sera violent, sans doute plus qu'on n'imagine. Et ainsi le vainqueur final sera élu par défaut, comme Hollande en 2012, comme Macron en 2017. Cette année-là on disait: face à Marine Le Pen, on ferait élire une chaise. Je crois qu'aujourd'hui on pourrait le dire de Macron.
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