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Face à l’info – 8 juillet 2021 – Zemmour: « En Haïti comme en Afrique, la corruption est un système »

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2 commentaires

Marie 10 juillet 2021 - 14 h 57 min

Info primordiale sur l’interdiction internationale de toute obligation vaccinale :
Les articles du code de Nuremberg sur l’expérimentation médicale, et ce vaccin est bien une expérimentation, t sur lesvacins dit bien que nul ne peut être contraint à se faire vacciner ou à vacciner autrui s’il est soignant et estime que’il n’y a pas les informations suffisantes pour effectuer un geste qui ne mette pas en péril le vacciné, et enfin, ce code invalide de ce fait les pass sanitaire et autres discriminations établies sur le fait d’avoir servi ou non de cobaye; de surcroît, tout laboratoires doit selon ce texte prendre son entière responsabilité en cas de dégâts causés aux vaccinés, ce qui rend caduques et criminelles la charte signée entre Macron et son comité de faux sages dit scientiques de l’APHP et les laboratoires qui les rétribuent ! Il y a donc crime majeur contre l’humanité en France !
Voici le texte à partager, publier, imprimer faire connaître à tout le monde.
Code de Nuremberg.
Les expériences médicales acceptables
La traduction moderne de référence18 du code de Nuremberg, faite depuis le texte du jugement, est la suivante pour les 10 articles :
1. Le consentement volontaire du sujet humain est absolument essentiel. Cela veut dire que la personne concernée doit avoir la capacité légale de consentir ; qu’elle doit être placée en situation d’exercer un libre pouvoir de choix, sans intervention de quelque élément de force, de fraude, de contrainte, de supercherie, de duperie ou d’autres formes sournoises de contrainte ou de coercition ; et qu’elle doit avoir une connaissance et une compréhension suffisantes de ce que cela implique, de façon à lui permettre de prendre une décision éclairée. Ce dernier point demande que, avant d’accepter une décision positive par le sujet d’expérience, il lui soit fait connaître : la nature, la durée, et le but de l’expérience ; les méthodes et moyens par lesquels elle sera conduite ; tous les désagréments et risques qui peuvent être raisonnablement envisagés ; et les conséquences pour sa santé ou sa personne, qui pourraient possiblement advenir du fait de sa participation à l’expérience. L’obligation et la responsabilité d’apprécier la qualité du consentement incombent à chaque personne qui prend l’initiative de, dirige ou travaille à l’expérience. Il s’agit d’une obligation et d’une responsabilité personnelles qui ne peuvent pas être déléguées impunément ;
2. L’expérience doit être telle qu’elle produise des résultats avantageux pour le bien de la société, impossibles à obtenir par d’autres méthodes ou moyens d’étude, et pas aléatoires ou superflus par nature ;
3. L’expérience doit être construite et fondée de façon telle sur les résultats de l’expérimentation animale et de la connaissance de l’histoire naturelle de la maladie ou autre problème à l’étude, que les résultats attendus justifient la réalisation de l’expérience ;
4. L’expérience doit être conduite de façon telle que soient évitées toute souffrance et toute atteinte, physiques et mentales, non nécessaires ;
5. Aucune expérience ne doit être conduite lorsqu’il y a une raison a priori de croire que la mort ou des blessures invalidantes surviendront ; sauf, peut-être, dans ces expériences où les médecins expérimentateurs servent aussi de sujets ;
6. Le niveau des risques devant être pris ne doit jamais excéder celui de l’importance humanitaire du problème que doit résoudre l’expérience ;
7. Les dispositions doivent être prises et les moyens fournis pour protéger le sujet d’expérience contre les éventualités, même ténues, de blessure, infirmité ou décès ;
8. Les expériences ne doivent être pratiquées que par des personnes scientifiquement qualifiées. Le plus haut degré de compétence professionnelle doit être exigé tout au long de l’expérience, de tous ceux qui la dirigent ou y participent ;
9. Dans le déroulement de l’expérience, le sujet humain doit être libre de mettre un terme à l’expérience s’il a atteint l’état physique ou mental dans lequel la continuation de l’expérience lui semble impossible ;
10. Dans le déroulement de l’expérience, le scientifique qui en a la charge doit être prêt à l’interrompre à tout moment, s’il a été conduit à croire — dans l’exercice de la bonne foi, de la compétence du plus haut niveau et du jugement prudent qui sont requis de lui — qu’une continuation de l’expérience pourrait entraîner des blessures, l’invalidité ou la mort pour le sujet d’expérience.

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Antoine Hepburn 14 juillet 2021 - 11 h 50 min

Pourquoi des milliards d’euros d’argent des contribuables français continuent à aller en Afrique et autres anciennes colonies? Ces pays sont indépendants depuis plus d’un demi-siècle. Si leurs gouvernments ne sont pas capables de les gérer, eh bien qu’ils redeviennent des colonies et dans ce cas on est d’accord pour que les impôts des Français aillent chez eux. Mais tant que ces pays sont souverains, eh bien que chaque gouvernement s’occupe des siens: en France nous avons des millions au chômage et sous le seuild e la pauvreté. Que le budget de la Coopération leur soit alloué. L’argent des contribuales FRANCAIS doit aller aux FRANCAIS!

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