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La Grande Interview – Moi, Président – 21 janvier 2022

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Eric Zemmour était l’invité du groupe Nice-Matin pour sa nouvelle émission « Moi, Président – La Grande Interview ».

6 commentaires

Ginette Alisson Fatimadottir 22 janvier 2022 - 13 h 06 min

L’épidémie est terminée.
Il y aura peut-être des mutations inattendues et autres joyeusetés que peuvent encore nous réserver les nouvelles mutations etc, mais la protection actuelle théorique dépasse les 100% (91% vaccinés et 21% guéris).
Les guéris ont une protection plus solide que les vaccinés.
Sachant que les vaccins à ARN sont arrivés à leurs limites (en ne protégeant qu’entre 20 et 40%, pour une période de plus en plus courte – le raccourcissement de la validité des divers « passes » en est une confirmation officielle), leur utilité devient marginale par rapport à de simples mesures-barrière et à l’aération des locaux.

Il faut rappeler la DÉFINITION DU VACCIN: « Un agent qui provoque une immunité, en provoquant moins d’effets secondaires que la maladie. »
Ce que disent les malades de l’omicron, ressemble furieusement aux effets secondaires des vaccinations de rappel.
Ce faisant, les vaccinés et les gens résistants ont des symptômes tels que fièvre & courbatures acquièrent une immunité solide.
Dans l’ensemble, les vaccins ARN – dont l’efficacité a diminué de moitié et qui ne protège pas bien d’omicron – ont cessé d’être la colonne vertébrale de l’immunité de groupe.
Un socle bien plus solide est en train de se mettre en place, à raison de 2% chaque 3 jours. Si on prend en compte la durée d’incubation et la durée de lissage, plus de 30% de la population aura été « vaccinée » solidement à la fin janvier.
Les guéris parlent de leur expérience et chacun connait au moins un ex-malade, ce qui fait que l’information circule désormais horizontalement (comme pour les Gilets-jaunes AOC).
Ce faisant, de nombreux vaccinés sont en train de passer à cette vaccination gratuite et solide (aussi contre les variants suivants), ce qui explique probablement l’explosion du nombre de cas.

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Ginette Alisson Fatimadottir 22 janvier 2022 - 13 h 08 min

L’autre crainte au sujet de l’omicron concernait l’infrastructure. Il semblerait que cette phase est terminée, car les guéris peuvent assurer la continuité des services.

Sachant qu’une partie des contaminations sont des autocontaminations volontaires (=qui correspond à un rappel vaccinal avec un microbe assommé), les populations on va rapidement friser l’immunité de groupe, le point faible étant la baisse d’immunité des vaccins ARN.
Sous peu, on aura donc des lacunes immunitaires ponctuelles, dans un contexte qui ne permettra plus d’épidémie massive et rapide.

Désormais meilleure stratégie est probablement d’arrêter immédiatement d’acheter des vaccins à ARN et de consacrer les moyens pour produire une vaccination solide basée sur un microbe assommé

Pour Macron, le pari électoral est perdu, qui consistait à se présenter comme un capitaine qui tient un cap en pleine tempête: Les gens ont repris leur vie en main et commencent à se demander pourquoi les passes sont devenus vaccinaux au moment où l’immunité découle d’un virus atténué qui vaccine sans injection*.
… Et pourquoi la durée de validité des passes diminue ?? … au moment où il faut faire campagne pour les mesures-barrières.

*C’était le plan initial, tout au début de l’épidémie (chacun se souvient du graphique qui était brandi sans tous les journaux télévisés)

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Socrate 22 janvier 2022 - 13 h 53 min

Eric Zemmour n’a toujours pas appris ce qu’était le certificat d’études primaires, une peau d’âne accordée deux années après la fin du CM2 aux élèves qui n’avaient pas réussi à l’examen d’entrée en sixième. Ce dernier se passait vers 11 ans, et une minorité des élèves de CM2 allait en 6° type lycée, d’autres en 6° type collège (« Enseignement général court », jusquà la troisième avec des programmes moins ambitieux). Les plus faibles restaient à l’école primaire en classe de « fin d’études », en général deux ans, et vers l’âge de 14 ans ils passaient le « certif » qui leur permettait d’entrer en apprentissage. Eric Zemmour est trop jeune (!) pour savoir comment fonctionnait le système avant 1960, il faut donc bien qu’un vieux prof l’éclaire.

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Finck André 22 janvier 2022 - 14 h 56 min

J’ai suivi cet interview et tout est clair, rien à contester car réaliste et réel dans ses propos.
Je soutien à 100% et le constat et les remèdes à mettre en œuvre.

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Socrate 22 janvier 2022 - 16 h 46 min

Tout à fait de votre avis. Mes précisions sur le certif’ servent simplement à rappeler qu’avant le collège unique il y avait le système des « filières », abolies par l’épouvantable réforme Giscard/Haby de 1975, qui a eu les résultats catastrophiques que nous connaissons, et qui s’aggravent encore de génération en génération. Contrairement à la notion de « tri », que mettent sans cesse en avant les égalitaristes, ce système permettait d’offrir à chaque enfant un enseignement adapté à ses capacités et à ses intérêts, quitte à regagner par un système de passerelles une autre filière lorsqu’un enfant avait rattrapé son retard. Je n’ai jamais compris comment la gauche, qui ne cesse de faire l’éloge de la diversité , veut mettre à l’école tout le monde dans le même moule, et nous savons très bien que ca ne marche pas. Le rôle de l’école est d’aller chercher les talents, tous les talents, aussi divers qu’ils soient, jusque dans le plus petit village, jusqu’au fond de la dernière banlieue, et non pas de confondre égalité avec uniformité. J’ai eu au lycée un camarade qui échouait lamentablement dans toutes les matières, mais qui dessinait sous la table, pendant les cours, des bandes dessinées fantastiques qu’il faisait circuler en cachette. Jamais le collège unique ne lui aurait permis de développer son extraordinaire talent de dessinateur et de conteur. Chaque talent perdu est une perte pour la nation. Seule une école diversifiée permet de donner à chacun ses chances. Expliquez ca à un inspecteur, vous parlez à un mur de six mètres de haut.

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Ginette Alisson Fatimadottir 22 janvier 2022 - 23 h 29 min

Ben oui: Au même âge ou presque, ceux qui – actuellement – se destinent à un métier qui demande d’être performant dans l’usage de connaissances abstraites, ont un niveau (inférieur ou) à peine supérieur à celui d’apprentis-maçons d’alors.
Le maçon capable d’estimer le volume de ce qu’il construisait était d’un niveau supérieur à celui de lycéens actuels incapables de résoudre un problème de robinets.

Je force à peine le trait.

La honte est encore plus grande si on considère que certains élèves actuels ont baigné dans un milieu instructif depuis la maternelle.

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