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La France dans les yeux – 09 février 2022

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Éric Zemmour est l’invité de l’émission « La France dans les yeux » sur BFM TV, depuis Aubervilliers en Seine-Saint-Denis.

19 commentaires

François BLANC 10 février 2022 - 12 h 39 min

Exercice à haut risque avec un Toussaint aboyeur dans le dos – bravo Eric Zemmour vous êtes bien le Dartagnan de ch.Kelly
Pour le contexte vaccinatoire covid la dernière vidéo de Guy Millière (Dreuz) me paraît bien décrire la situation de liberté bafouée
https://www.dreuz.info/2022/02/guy-milliere-je-ne-suis-ni-pro-vax-ni-antivax-259322.html

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Jean BART 10 février 2022 - 13 h 41 min

Je ne sais pas si c’est sur tous les navigateurs, mais la vidéo n’y est pas: il n’y a aucun risque pourtant; contrairement à ce que certaines tentatives de buzz ailleurs sur le net avec cette vidéo pourraient laisser penser, elle ne dessert pas M Zemmour, puisque l’argument principal de la dame est « Ou lala, ou lala », qui pour ma part ne me convainc pas.
Il est vrai que le « ça suffit », au ton sobre en réalité, de M Zemmour, est un peu trop elliptique. Circularisons:
Le discours de cette dame est typique de ceux qui sont dans une soumission, une islamo-collaboration, ou peut-être encore mieux dit: une certaine aptitude à la dhimmisation passive.
Passons rapidement, au risque d’être un peu désobligeant sans que ce soit le but, sur le fait que cette dame, à moins de sortir en maillot de bain deux pièces (en ayant oublié de mettre le bas après un passage au bar à haschisch) ou de tomber sur un pervers, ne craint pas grand chose, et ce quelque soient ses choix vestimentaires.
Ce genre de témoignage lâche et fallacieux amplifie le fait que s’il y a encore une partie de la population française qui n’est pas encore consciente du danger et du niveau d’islamisation du pays, c’est que précisément, ils n’ont aucune idée de ce que c’est que de vivre dans ou à proximité des zones conquises, ou contrôlées, ou infiltrées par l’Ennemi. Et si ce dernier a réussi une telle avancée, c’est précisément parce qu’il ne s’est pas diffusé uniformément dans un premier temps, mais parce qu’il s’est concentré dans des espaces où il n’a nullement été parqué mais d’où il a su faire partir ceux et celles qui ne lui convenaient pas.
Mais leurs collaboratrices et collaborateurs ne seraient, si les choses devaient mal tourner, comme le suggère leur état d’esprit, que de bien piètres hoplites au service de communautaristes sécessionnistes et rétrogrades.
Léger mépris pour ces gens qui ne viennent pas défendre la paix civile sur les plateaux, mais leurs images de dyonisiens pas très français (Qui sait, peut-être ont-ils/elles un appartement à y vendre ou à y louer?)

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Jean BART 10 février 2022 - 13 h 56 min

…quels que soient ses choix vestimentaires.
Ou lala

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BdiG 10 février 2022 - 14 h 07 min

J’aime bien votre conclusion (l’appartement à vendre ou à louer ?) ça renvoi à « L’aventure c’est l’aventure » ou Charles Gérard profite du micro lors d’un meeting révolutionnaire pour clamer : »J’AI A VENDRE UNE MERCEDES etc etc  » Zemmour est très obligeant avec BFMtv / Toussaint en acceptant ce genre de débat traquenard ou les intervenants sont briefés AVANT voir ou leurs questions leurs sont « soufflées ». D’autant que la chaine sait que Zemmour va booster l’audimat.

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BdiG 10 février 2022 - 13 h 57 min

Comment faire croire à un débordement alors qu’il s’agit juste du recadrage d’une imbécile obstinée. Toussaint comme souvent les « chabins très dilués » genre Leclerc se font un plaisir de tacler la France en manipulant des demi afro maghrébins. Cette technique est connue, c’était d’ailleurs celle qu’employait Gaston Monnerville pour s’opposer à de Gaulle. Léopold Senghor ou Césaire eux étaient autrement convaincants. Et puis Zemmour de part ses orgines juif berbère a toute légitimité à rembarrer une demi arabe qui vient le chatouiller sur « un point de détail » de son programme. Zemmour élu ne fera pas « une loi » pour changer les prénoms. Seuls les nouveaux nés devront avoir un prénom usuel du calendrier et autant de prénoms exotiques qu’ils voudront. C’est pas avec ça qu’on argument avec un candidat à la présidence.

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BdiG 10 février 2022 - 14 h 01 min

Ce n’est pas un clash, c’est juste le recadrage par Zemmour d’une personne qui ramène le débat à son plus bas niveau en ergotant sur son cas personnel.

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BdiG 10 février 2022 - 21 h 09 min

Cette femme est grotesque, en ramenant le débat à son cas personnel et en reprochant à Zemmour de fustiger l’islam et les mahométans elle nue la réalité. Sans mahométans , sans islam pas de Bataclan pas de Kouachis pas de Coulibali pas de twin-towers pas de jihad pas d’Al Qaida pas de voile pas de quartiers islamisés pas de Merah pas de Kelkal pas de camion meurtrier à Nice pas de prof décapité pas de curé décapité etc etc Elle prend le métro à 22h à 64 ans en effet « elle risque pas grand chose surtout si elle parle arabe. MÔA JE sais qu’une jeune femme en jupe robe ou jean ne peut pas prendre le train Montparnasse Rambouillet s’il s’arrête à Trappes Expérience faites par mon épouse (asiatique)et ma fille (eurasienne) et mon petit fils agressées par 3 racailles dont deux pouffiasses trappistes. C’est mon petit fils karatéka qui à remis les choses « à l’endroit » sinon ça se serait mal terminé. Alors cette konasse: QU ELLE SE TAISE !!! Et le vote ZEMMOUR dès le premier tour s’impose

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carine 10 février 2022 - 23 h 34 min

Bonjour M Zemmour,
Merci pour ce que vous faîtes pour notre futur, vous êtes notre dernier espoir de s’en sortir à tout point de vue ;
je suis infirmière depuis 25 ans et pour la suite de vos débats: vous pouvez mettre cela en avant : la désertification de la profession vient de cette politique désastreuse d’administration des hôpitaux par les ARS , les chefs de service n’ont plus aucun impact dans la gestion de leurs services ( s’ils estiment qu’il faut plus d’infirmières , ils n’ont plus leur mot à dire..) tout est décidé par des administrés déconnectés du terrain , des bureaucrates qui n’ont jamais mis les pieds dans les services de soins et en plus on est considérés comme des pions sur un planning que l’on bouge à tout va lorsqu’il y a des absences ( gestion en pôles et non plus en unité de services ) du coup , on est épuisés psychologiquement et démotivés , nos chefs médecins sont épuisés aussi et ce n’est pas parce que la profession est difficile qu’elle est désertée ( car comme vous l’avez dit , le métier a toujours été difficile : ce n’est pas nouveau ) mais parce qu’on a l’impression de ne plus être considérés comme des êtres humains mais comme des pions .Heureusement que beaucoup de soignants et médecins ont encore l’esprit de l’engagement mais pas tous , et je constate une baisse de niveau et de qualité dans les prises en charge des patients depuis ces 10 dernières années. C’est désespérant ….
cordialement et bon courage pour cette campagne

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Bruno 11 février 2022 - 16 h 19 min

Au sujet des enseignants, ou plus exactement – puisqu’elle sont surreprésentées de manière obscène dans le primaire et le secondaire – des enseignantes, on aura beau interdire à juste titre aux lobbies tout accès à l’école, conditionner l’achat des manuels scolaires de telle ou telle maison d’édition à des contenus décents, il restera qu’elles sont indécrottablement gauchistes et que, seules dans la salle de classe en face d’élèves, elles trouveront toujours des moyens pour les endoctriner dans un constant maternage étouffant et débilitant. La condition sine qua non de la rectification de l’instruction est sa remasculinisation. Concrètement, par exemple, il est urgent de supprimer le deux poids deux mesures, qui fait que, toujours par exemple, il suffit à une femme d’avoir deux ou trois enfants pour être propulsée titulaire, comme c’est le cas dans la pseudo-éducation-pseudo-nationale.

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Socrate 11 février 2022 - 17 h 46 min

Le problème essentiel de l’école, en France, personne ne veut l’aborder en face. La réalité est que la France n’a plus les moyens d’offrir à ses millions d’enfants des professeurs de bon niveau. On a peine à trouver des candidats convenables aux concours de recrutement, il faut les surnoter pour faire illusion, mais même ainsi on n’arrive pas à pourvoir tous les postes offerts, ce qui fait qu’à la rentrée suivante on embauche comme remplacants ceux qui ont échoué. Etonnez-vous de la baisse du niveau. Mais il y a une raison : le métier a totalement perdu son attractivité. Il faut savoir que les enseignants n’ont pratiquement eu aucune revalorisation salariale depuis dix-sept ans. Quelques points d’indices grapillés à l’ancienneté tous les quatre ou cinq ans ne font pas le compte face à l’inflation. Et pour être traités comme ils le sont dans bien des quartiers, bien peu ont envie de se faire profs. Conséquence: la féminisation du métier d’enseignant, qui devient un salaire d’appoint dans le ménage. Quant à la titularisation parce qu’une femme a deux ou trois enfants, c’est une pure légende. On devient enseignant titulaire, comme n’importe quel fonctionnaire, en passant un concours de recrutement, c’est la règle.

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Jean BART 11 février 2022 - 20 h 48 min

« Et pour être traités comme ils le sont dans bien des quartiers, bien peu ont envie de se faire profs »: +1
Sans compter les établissements où il y a de véritables passerelles entre élèves et enseignants apparentés, milieu dans lequel un enseignant débutant venu pour enseigner comme un enseignant soit partira bien vite soit devra accepter cette étrange situation. Un exemple édifiant est celui du prof qui se résout à venir chaque jour s’asseoir à son bureau en laissant faire les élèves absolument ce qu’ils veulent: la paix des rigolos et du demi-salaud qui mordent la main de l’Administration parce qu’ils n’ont pas à la baiser. Il me vient une autre anecdote: tandis qu’un nouvel enseignant remplaçant écrit au tableau, il entend une élève dire à sa voisine:  » Il y en aura un nouveau qui va arriver, il a la barbe et il est musulman » (A coup sûr, certains lecteurs/lectrices seront tentés de se dire que ce commentaire est une manipulation populiste d’une bassesse vulgaire… Bel et bien d’une authenticité sur laquelle j’engage mon honneur).
« On devient enseignant titulaire, comme n’importe quel fonctionnaire, en passant un concours de recrutement, c’est la règle. »+1
En fait, la confusion de certains vient du fait que qui a 3 enfants est dispensé des diplômes; mais il/elle passe le CONCOURS, et s’il/elle n’a pas le niveau, se fait, du moins autant que les autres, descendre (par le descenseur social 🙂 ). Et bien sûr, pour les internes, il y a possibilité de se faire titulariser par des inspections. Mais il m’est arrivé de voir des rapports d’inspections, et je puis vous dire que ce n’est pas l’Ecole des Fans.

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Socrate 11 février 2022 - 20 h 58 min

Cher Jean Bart, vous avez mis dans le mille: dans les quartiers qui ont fait sécession, seuls peuvent être acceptés des enseignants (mâles) issus de la civilisation qui nous a grand-remplacés.
Bien sûr, ils ne parleront pas aux enfants de La Fontaine ou de Stendhal, jamais entendu parler; ce sera du rapp ou pire. En maths on dit que les Arabes ont inventé le zéro; on ne nous dit pas s’ils sont allés plus loin. Les territoires perdus de la République, c’est devenu une réalité. Notre gouvernement est impitoyable avec les convois de la liberté, on sort tout de suite les blindés (!) , mais devant les racailles, nos « élites » font dans leur froc.

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Jean BART 11 février 2022 - 21 h 09 min

Mme Moreno sur les soumises à l’Ouma et les fourbes ou féroces au reste du monde:
« Je ne défends nullement l’existence d’associations sportives qui assumeraient explicitement de faire du port du voile une condition d’adhésion et une forme de revendication identitaire » a-t-elle affirmé.

Que Mme Moreno se rassure: aucune association sportive n’assumera explicitement de faire du port du voile une condition d’adhésion et une forme de revendication identitaire.
Les grâcieuses et fines qui avaient pris d’assaut en burkinis une piscine parisienne ont-elles assumé explicitement de faire du port du burkini une condition d’adhésion et une forme de revendication identitaire? Non. Raison pour laquelle Mme l’anticlaque Schiappa déclara que ce n’était pas son problème.
Il n’y aura donc pas besoin de risquer sa vie en Ibérie avec Charlemagne. Bonne nouvelle pour Gaby le mature, le stable, d’une martialité orpheline d’un combat viril.

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Socrate 12 février 2022 - 19 h 29 min

Allons au bout de la logique: puisque les musulmanes veulent absolument qu’on sache qu’elles le sont lorsqu’elles font du sport, allons-y: organisons des championnats de foot féminin en burka. Ca sera drôle, au moins. Et pour les compétitions de natation, scaphandrier obligatoire. Qu’on se le dise: en France, on promène sa religion sur sa tête. On m’objectera les « bonnes soeurs »; savez-vous quand j’en ai vu une pour la dernière fois avec une cornette? C’était en 1957. D’ailleurs les bouffeurs de curés vont bientôt crever de faim, car des curés, il n’y en a plus.

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Ginette Fatimadottir 13 février 2022 - 13 h 47 min

Le couvre-chef des moniales sert à couvrir la calvitie qui résulte de la coupe très courte des cheveux. Le tissu remplace la chevelure, tout en gardant un aspect féminin.
C’est exactement le contraire de la cagoule islamiste, dont le but est de cacher les cheveux.

Dans de nombreuses régions du monde, les femmes industrieuses couvrent leurs cheveux pour les protéger (et non pas pour les cacher).
Le fichu permet d’éviter qu’ils s’emmêlent et se salissent.

Il n’y a qu’une religion dans laquelle de vieux pervers sont si excités sexuellement par des gamines de 4 ans, qu’ils en déduisent que les fillettes portent la culpabilité de leurs instincts pédocriminels et que les fillettes doivent être +/- emprisonnées dans des suaires portatifs.

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Jean BART 12 février 2022 - 15 h 10 min

1h21mn30s: « …Les Français de souche ne veulent pas le faire… »
Ce sont donc les étrangers extra-européens qui ont maîtrisé l’usage du balai avant tous les autres.
Un peu plus sérieusement, j’en connais qui ont maîtrisé l’art d’empêcher les gens de dormir pendant pendant plusieurs années (probablement entre des journées de balayage incessant et exemplaire?) tout en sachant paraître dignes et polis lors de leurs échanges avec différents représentants de la société civile (gardiens, policiers, voisins non immédiats); sûrement que le ti-punch aide à évacuer tout sentiment de culpabilité, toute conscience.
Et l’impossibilité de se loger où l’on veut en IDF, c’est pour tout le monde, quelle que soit l’apparence, … sauf que cela devient précisément plus dur pour des français qui n’ont pas l’avantage d’apparences qui pourraient faire hésiter des employeurs ou des aidants sociaux à ne pas les choisir ou les aider pleinement. C’est que SOS Racisme et autre mouvement rapace sous l’autorité des prophètes tournoient dans le ciel.

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Charly Brown 13 février 2022 - 6 h 41 min

Après l’émission « La France dans les yeux » j’ai zappé et j’ai pris en cours le debrief de Switek. Le ton m’a interpellé et je l’ai revu sur le replay. Je le trouvais sympa quand il faisait le beau sur la 5 pour amuser Bébête et son plateau « d’entre soi » choisis dans le politiquement correct. Switeck refait le débat pour bien nous expliquer ce qu’on aurait dû comprendre. Pour cela il reprend les interviews à charge de certains invités et cette fois c’est sans risque puisque Éric Zemmour n’est plus là pour répondre ! C’est très faux jetons comme méthode, mais bon, c’est courant sur BFM. On retrouve la militante Zina Terki, présentée comme une habitante du coin et Switek qui la rassure à la fin en lui disant qu’elle a bien parlé ! et Alwin Bourgeois qui avait du mal dans le débat à faire la différence entre un étranger de l’Europe communautaire et un étranger du continent africain.Il ne formule aucune question réelle amenant une réponse politique qui ferait avancer le débat. Sur 40mn d’émission il redonne 10 minutes de micro à Zina, 6 minutes à Alwin, 0 minute à Marylène et 0 minute à François. Switek, sans contradicteur, est toujours très à l’aise en garçon servile alors qu’il « serrait les fesses » en face d’Éric Zemmour dans une autre émission quelques jours plus tôt. On le voyait mal à l’aise dans une émission « en direct ». Comme on dit « il avait peur d’en prendre une » (verbalement évidemment) puisqu’on s’était déjà amusé de ses propos. Le monologue derrière un micro à lire les fiches fournies par son patron lui va bien. Cette façon de faire de la télé fait partie de la violence médiatique qui nuit aux débats, engendre des frustrations voire des agressions envers ces nouveaux curés journalistes. Pire que de la télé partisane, de la télé de collabos.

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de ville 13 février 2022 - 7 h 16 min

les gens se font tellement chier que ces show people, même plus politique, on sait comment ca va se passer,. alors on attend, le dérapage, on attend, l’insulte bien « raciste » on attend qu’un journaleux hurle au scandale…. etc…. etc…… les guignols de l’info étaient bien meilleur. dommage pour Z qui n’a pas sa place , dans ce Zoo. mais l’obligation pour lui de se rabaisser quant a ces farçes ridicule , me laisse …… perplexe

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Mc ROH 13 février 2022 - 12 h 23 min

Miss Oulallah, dont les charmes demeurent si discrets qu’ils ne risquent rien pendant la nuit.

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