Eric Zemmour vous livre, à Châteaudun, son discours sur la ruralité française, sur nos campagnes, sur notre agriculture. Sur cette France rurale méprisée, souvent abandonnée, toujours sous-exploitée.
Au sujet de la France méprisée, citons un exemple du minable orgueil de certains ignorants, tantôt étrangers croyant malin de se venger sur le premier bleu blanc rouge d’éventuelles moqueries qu’eux-mêmes auraient subi dans leur enfance (dont la sortie ne les a pourtant pas dotés de l’intelligence de l’esprit de distinction), tantôt néo-traîtres trouvant très classe d’affirmer leur non appartenance à la classe des bouseux (à bons entendeurs mauvais parisiens: s_l_p(e)s!): La moquerie, à côté de la plaque, de certaines formules de certains patois. Exemple: « J’y sais ben ». Une formule qui signerait une plouquerie indécrottable… Sauf que ce « y » n’est autre qu’une survivance du neutre latin… (C’est Najat et Jack qui vont tomber ex eis oppidis) Un autre exemple: ces petites racailles qui s’amusent (depuis de nombreuses années)**, à des moqueries dans un bus contre un jeune français blanc aux cheveux trop raides: « Oh, Gustave!? Oh Léon!? Hhha hhha hhha… » Bonne journée les traîtres. Excellente, efficace et puissante journée aux autres.
**et en particulier avant la fameuse déclaration sur les prénoms, rappelée par le génial, honnête et si drôle Xavier N., prétendant tenir ses promesses mais oubliant de rappeler qu’il a été, étrangement légèrement, condamné pour entraves à la résiliation -point commun avec un certain Dupont-M qui après avoir subi la désapprobation d’un suffrage, reste en poste.
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Au sujet de la France méprisée, citons un exemple du minable orgueil de certains ignorants, tantôt étrangers croyant malin de se venger sur le premier bleu blanc rouge d’éventuelles moqueries qu’eux-mêmes auraient subi dans leur enfance (dont la sortie ne les a pourtant pas dotés de l’intelligence de l’esprit de distinction), tantôt néo-traîtres trouvant très classe d’affirmer leur non appartenance à la classe des bouseux (à bons entendeurs mauvais parisiens: s_l_p(e)s!):
La moquerie, à côté de la plaque, de certaines formules de certains patois. Exemple: « J’y sais ben ». Une formule qui signerait une plouquerie indécrottable… Sauf que ce « y » n’est autre qu’une survivance du neutre latin… (C’est Najat et Jack qui vont tomber ex eis oppidis)
Un autre exemple: ces petites racailles qui s’amusent (depuis de nombreuses années)**, à des moqueries dans un bus contre un jeune français blanc aux cheveux trop raides: « Oh, Gustave!? Oh Léon!? Hhha hhha hhha… »
Bonne journée les traîtres.
Excellente, efficace et puissante journée aux autres.
**et en particulier avant la fameuse déclaration sur les prénoms, rappelée par le génial, honnête et si drôle Xavier N., prétendant tenir ses promesses mais oubliant de rappeler qu’il a été, étrangement légèrement, condamné pour entraves à la résiliation -point commun avec un certain Dupont-M qui après avoir subi la désapprobation d’un suffrage, reste en poste.