Quelle doit être la juste place de l’Etat ? Quel doit être le lien entre le peuple et le politique ? Comment conjuguer l’unité nationale à l’épreuve des particularismes ?
Il faudrait vraiment un débat avec Eric Sadin. Dans son livre, l’ère de l’individu Tyran, il a analysé dans la profondeur d’où vient cette incivilité, bien plus celle dont parle M Lisnard que celle qu’on ne nomme pas délinquance et criminialité. L’incivilité au sens propre du terme est effectivement très large, et découle de l’essor du mondialisme, de l’augmentation du niveau de vie, qui a vu se développer l’ère de la jouissance et de la vanité, en même temps que se démocratisait l’accès à la culture, à l’éducation, à la médecine, à l’auto affirmation de soit, à la culture du non mérite, tout donné comme un droit naturel. La déresponsabilisation et la fin d’un monde commun découle directement de cet accès nouveaux pour les classes les plus pauvres aux anciens privilèges des classes les plus riches, au delà même largement de ce qu’avait un roi il y a qq siècle. Qui aurait cru que le plus oisif des êtres puisse voyager à l’autre bout du monde en avion, téléphoner à l’autre bout du pays en un clic, accéder à la musique de l’autre bout du monde sans bouger, avoir accès à la médecine et la visibilité sociale sur les réseaux sociaux, alors qu’il est né pauvre et n’a jamais travaillé… Le prix à payer de tous ces privilèges acquis sans être conquis est l’oisiveté qui mène à la déresponsabilisation, la lacheté, la technocratie et les « supra » structure dont parle l’invité… Bref, si qqn sait contacter Eric Zemmour, Christine Kelly, ou leurs équipes, invitez les à s’intéresser à Eric Sadin.
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Il faudrait vraiment un débat avec Eric Sadin.
Dans son livre, l’ère de l’individu Tyran, il a analysé dans la profondeur d’où vient cette incivilité, bien plus celle dont parle M Lisnard que celle qu’on ne nomme pas délinquance et criminialité. L’incivilité au sens propre du terme est effectivement très large, et découle de l’essor du mondialisme, de l’augmentation du niveau de vie, qui a vu se développer l’ère de la jouissance et de la vanité, en même temps que se démocratisait l’accès à la culture, à l’éducation, à la médecine, à l’auto affirmation de soit, à la culture du non mérite, tout donné comme un droit naturel. La déresponsabilisation et la fin d’un monde commun découle directement de cet accès nouveaux pour les classes les plus pauvres aux anciens privilèges des classes les plus riches, au delà même largement de ce qu’avait un roi il y a qq siècle. Qui aurait cru que le plus oisif des êtres puisse voyager à l’autre bout du monde en avion, téléphoner à l’autre bout du pays en un clic, accéder à la musique de l’autre bout du monde sans bouger, avoir accès à la médecine et la visibilité sociale sur les réseaux sociaux, alors qu’il est né pauvre et n’a jamais travaillé… Le prix à payer de tous ces privilèges acquis sans être conquis est l’oisiveté qui mène à la déresponsabilisation, la lacheté, la technocratie et les « supra » structure dont parle l’invité…
Bref, si qqn sait contacter Eric Zemmour, Christine Kelly, ou leurs équipes, invitez les à s’intéresser à Eric Sadin.