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La Croisée des chemins – Pleurtuit – 29 octobre 2021

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Eric Zemmour était présent ce vendredi 29 octobre 2021 à Pleurtuit pour sa tournée « La Croisée des chemins » à l’occasion de la sortie de son nouveau livre « La France n’a pas dit son dernier mot ».

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Jean BART 4 novembre 2021 - 10 h 22 min

Sachant d’une part de source notoire, et d’autre part immanquablement de source plus privilégiée, que des clandestins, algériens et autres, investissent, en dehors de tout motif de fuite d’un régime les persécutant, le territoire national par des zones géographiques connues que sont les frontières de la France, le citoyen Emmanuel Macron, président de la République française, et à ce titre ayant autorité partagée sur les Armées, et ascendance sur le premier ministre ayant lui-même ascendance sur le ministre de l’Intérieur, ne procède à aucune mesure coercitive pour stopper ces flux illégaux qui, au regard de l’actualité sur l’économie et la sécurité, constituent la livraison d’une partie du territoire national à un ennemi pratiquant autant le djihad social que le djihad d’agressions physiques.

De plus, il honore les victimes d’une manifestation illégale de personnes, manifestation qui présentait un degré de menace exceptionnelle, et ce de manière flagrante et paroxystique si nous la mettons en perspective avec les massacres d’européens du 20 août 1955 (https://www.asafrance.fr/item/algerie-20-aout-1955.html)

Le code pénal français est clair :

« Le fait de livrer à une puissance étrangère, à une organisation étrangère ou sous contrôle étranger ou à leurs agents -…- tout ou partie du territoire national est puni de détention criminelle à perpétuité -…

Et est applicable à ce crime une période de sûreté de dix-huit ans. »

Il semblerait donc bien que le citoyen Emmanuel Macron soit passible de détention criminelle à perpétuité assortie d’une période de sûreté de dix-huit ans.

Quant à ceux qui pensent que M Zemmour divise les Français, ils sont absous : la peur et une fierté défensive leur font dire ce qu’ils disent pour ne pas s’avouer leur soumission.
La loi ne peut exiger le courage de tous les citoyens. Pour le réconfort psychique de la majorité de ces âmes apeurées choisissant la voie de la paix sans le self-respect, signalons que même des cadres qui dans les années 90 dénonçaient avec déception et dégoût la présence dans leurs grandes écoles de coparticipants qui refusaient manifestement de s’intégrer, jouent aujourd’hui, quand ils sont RH, le jeu de la « diversité », sachant pertinemment qu’ils sont de « tous ces tigres qui sans pitié déchirent le sein de leur mère » ; mais ce jeu leur sied bien davantage que de résister aux injonctions de la diversité forcenée au risque d’égratigner leur carrière dans le seul but de préférer la valeur générale : qu’importe la valeur en général ? Tout ce qui existe de toute façon, c’est leur valeur, leur supériorité. Et qu’est-ce que baiser la main à l’idéologie de la diversité qu’ils ne peuvent mordre devant la soumission vile et abjecte qu’ils ont démontrée ce fameux jour de bizutage, en début de cette année qu’ils ont gardée quelque part dans un coin de leurs têtes, ou un peu plus tard dans l’année, adaptation de dissimulation à la loi oblige ? Pas grand-chose.

Alors, comme des Français dans la France occupée s’étant accommodée de la présence allemande qui ici s’indignaient, là suppliaient leurs concitoyens moins optimistes de ne pas briser le calme qui apportait encore, dans l’ensemble, du pain sans effusion de sang, ces âmes pas très fières d’aujourd’hui accusent M Zemmour de diviser les Français.

Récemment, une jeune femme a été condamnée par la djeustice de notre pays pour avoir déclaré que ceux qui passent les Pyrénées pour venir nous dominer ne seront jamais les bienvenus.
Pourtant, tout ce qui n’est pas privé est public et appartient au peuple de France. En attendant le jugement du citoyen Manu pour haute trahison et que soit remédié à son manquement réitéré et continu d’assurer la sécurité frontalière, ne serait-il pas légitime que tous les Français qui en ont le temps, l’énergie et les moyens, se constituent en milice pour pallier cette haute trahison et assurer cette sécurité frontalière, bien au-delà de la simple déclaration d’une patriote ?

Ce n’est qu’une question, Mmes, Mrs les djeudjs (Détendez-vous).

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